CE N'EST PAS LE MOMENT DE SE REPOSER

David Wilkerson

Certains d'entre vous qui lisez ces lignes avez pris des vacances en ce qui concerne : “combattre le bon combat.” Vous êtes fatigué jusqu'à la moelle et vous vous dites : “Je dois ralentir ou craquer ! Je n'en aimerai pas moins le Seigneur et je resterai fidèle, mais je dois suivre mon cœur et mon cœur me dit de me reposer.”

Bien-aimé, ton timing ne pourrait pas être pire ! Le repos spirituel ou le ralentissement est le dernier rouage dans le piège du diable. Tu choisis de partir en vacances à minuit. “D’autant que vous savez en quel temps nous sommes : c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. La nuit est avancée, le Jour approche. Dépouillons-nous donc des œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière” (Romains 13:11-12).

Si la nuit était avancée et que le jour du Seigneur était proche quand cela a été écrit, à combien plus forte raison en sommes nous plus proches aujourd'hui ! Il ne peut pas y avoir de repos dans cette guerre des derniers jours. “Soyez sobres. Veillez ! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il va dévorer ; résistez-lui avec une foi ferme” (1 Pierre 5:8-9). Satan ne se reposera pas. Il ne va faire qu'augmenter ses efforts. N'osons même pas penser à dormir !

A travers tout le Nouveau Testament, Dieu nous appelle à être éveillé, vigilant et conscient, et à revêtir l'ensemble des armes offensives et défensives de la justice. Nous ne devons pas dormir comme certains le font, mais nous devons attendre avec impatience le jour du Seigneur et tout faire pour le hâter.

Repose-toi seulement dans cette guerre, et tu es mort. Repose-toi,et tu vas être pris dans le piège du diable. Cet appel au repos émane tout droit de l'enfer ! C'est la sirène de Satan lui-même. Sois averti parce qu'il est grand temps de se réveiller !

“Préserve-moi du piège qu’ils me tendent, Et des embûches de ceux qui commettent l’injustice !” (Psaumes 141:9).