Il est très important de comprendre l’évangile de la grâce. Jésus est mort sur la croix et, quand Il est mort sur la croix, Il a entièrement payé le prix de notre salut. C’est pour cette raison que nous n’avons rien à ajouter à l’équation.
C’est donc un problème quand les gens disent : “Eh bien, vous savez, Jésus a fait Sa part et, maintenant, je fais la mienne. Il a commencé les choses et je dois maintenant travailler pour les finir.” A chaque fois que tu essaies d’ajouter quelque chose à l’œuvre entièrement accomplir de Jésus, cela devient du légalisme.
Quand les gens cherchent à accomplir toutes sortes d’œuvres, à faire constamment des choses pour plaire à Dieu, le seul moyen d’en sortir, c’est de comprendre la grâce de Dieu. En tout premier lieux, c’est Jésus qui plaît à Dieu, en tant que sacrifice ultime accompli au Calvaire. Quand Il a donné Sa vie, Il a rempli toutes les exigences de Dieu, alors Dieu n’est plus en colère contre nous. A présent, nous vivons dans la liberté et la puissance de Christ.
Le choix est nôtre. Nous pouvons rechercher une relation avec Dieu basée sur la dette, ou nous pouvons rechercher une relation basée sur la foi. S’il s’agit d’une relation basée sur la dette, alors nous ne serons jamais sûrs d’avoir payé assez. “Ai-je sacrifié assez, ai-je jeûné assez, ai-je prié assez, ai-je donné assez afin d’obtenir la faveur de Dieu ?”
L’apôtre Paul est passé de cette position de vie sous la loi pour vivre libéré en Christ. Il était un Pharisien extrémiste, mais quand il a connu Christ et le pouvoir de l’évangile, le Saint-Esprit a rempli son cœur et il y a eu une transformation complète.
Paul nous dit à quel point cette liberté est glorieuse ! “Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie, parce que la loi produit la colère, et que là où il n'y a point de loi il n'y a point non plus de transgression. C'est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité…” (Romains 4:14-16).
A présent, grâce à la promesse qui repose sur la grâce, nous sommes rendus semblables à l’image de Christ et nous vivons comme Lui, et nous prions comme Lui. Il s’agit d’une marche sainte avec Dieu, mais une sainteté qui est produite par Dieu plutôt que par nos propres efforts.