Un lien crucial manque dans nombre de nos vies, et c’est souvent la raison pour laquelle nous ne recevons pas de réponse à nos prières. Bien-aimé, le lien qui manque, c’est la foi. “Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent” (Hébreux 11:6).
Ton corps est le temple du Saint-Esprit et, depuis son saint sanctuaire à l’intérieur de ton cœur, Il insuffle Son influence dans toutes tes émotions – Son intérêt pour toi, Ses encouragements, Son réconfort, Sa conviction, Sa direction, Son enseignement, Ses reproches, Sa manifestation de la réalité de Christ. Quel don merveilleux !
Malheureusement, de nombreux chrétiens négligent ce cadeau merveilleux qui se trouve en eux. Certains ignorent même entièrement l’Esprit de Dieu, vivant leur vie quotidienne comme s’Il ne résidait pas en eux.
David a déclaré avec assurance : “[Dieu] est le salut de ma face” (Psaumes 42:11). Quand il est parlé de la face, il est parlé des expressions du visage, du langage corporel et même de l’intonation de voix. David dit ici quelque chose de très important. Ta face est comme un panneau d’affichage qui avertit de ce qui se passe dans ton cœur – toute ta joie ou ton tourment s’y reflètent.
Tandis que les enfants de Dieu vaquent à leur routine quotidienne, avançant dans leur marche avec Jésus, ils peuvent être soudain frappés par une tempête, une vague de problèmes qui vient s’abattre de tous les côtés. Dans le Psaume 107, aux versets 23 à 26, il nous est parlé de “ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires” et qui étaient secoués par des vents violents. Les marins, dans ces versets, étaient si effrayés qu’ils étaient près de s’évanouir.
Dans la culture d’aujourd’hui, de nombreux chrétiens sont perplexes devant le concept de gagner. Mais trop souvent, nous ne savons même pas comment définir à quoi ressemble une victoire. Les pasteurs s’imaginent que, pour avoir une église victorieuse, ils doivent avoir un bâtiment plus grand, un budget plus important, une équipe d’adoration efficace, un ministère auprès des enfants super. Les gens qui sont dans les affaires s’imaginent qu’avoir davantage d’employés, un plus grand profit et du prestige dans leur domaine s’apparente à une victoire.
Quand je voyage à travers le pays, en parlant de Dieu et en évangélisant, je raconte souvent des histoires qui illustrent l’œuvre de Dieu à travers notre ministère. Des histoires de criminels endurcis et de chefs de gang qui viennent à nos réunions dans l’intention d’y créer des problèmes, mais qui se retrouvent convaincus par l’Esprit Saint, demandant pardon à Dieu. D’autres fois, je raconte des témoignages de guérisons miraculeuses – à la fois physiques et spirituelles – qui ont lieu.
Dieu a promis à Son peuple un repos glorieux qui apporte la paix à l’âme. Malheureusement, trop de chrétiens ne comprennent pas ce que veut dire se reposer dans leur salut. Ils ne possèdent pas la paix qui est disponible pour tous les chrétiens en Jésus Christ, la paix qui peut les porter au milieu de toutes les tempêtes.
“Afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts” (2 Corinthiens 1:9). L’apôtre Paul a écrit ces mots quand il a touché le fond. Il disait, en substance : “Le Seigneur m’a emmené là où aucune aide humaine ne pouvait m’atteindre. C’était une situation si désespérée que seule la puissance de résurrection de Dieu pouvait me sauver !”
Après qu’Adam et Eve eurent mangé le fruit défendu dans le jardin d’Eden, ils se cachèrent de Dieu lorsqu’ils l’entendirent marcher dans le jardin au crépuscule (voir Genèse 3:8). Après que David eut péché avec la femme de l’un de ses chefs de guerre et qu’il se fut arrangé pour que l’homme soit tué, lui permettant ainsi d’épouser la femme, nous voyons que David s’est retiré. Il a refusé d’aller à la bataille et s’est caché dans le palais. Il avait perdu son combat et il avait peur d’affronter Dieu avec des péchés non avoués.
L’un des ministères les plus nécessaires dans l’Église, aujourd’hui, est celui de la consolation : réconforter les autres dans leurs temps d’épreuve et d’affliction. De nombreux croyants ne savent tout simplement pas vers où se tourner quand ils souffrent.