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French Devotions

ASSOIFFÉ DE DIEU

Jim Cymbala

Après une réunion de prière un mardi soir, il y a peu de temps, à Brooklyn Tabernacle, j’ai été présenté à un pasteur qui nous rendait visite avec un petit groupe de responsables de son église. Je lui est souhaité la bienvenue et je lui ai demandé d’où il venait.

“Kentucky,” a-t-il répondu.

“ C’est assez loin de New York,” ai-je répondu. “Combien de temps allez-vous rester ici ?”

“Nous repartons cette nuit. Je suis parti à l’aube ce matin, juste à temps pour être à cette réunion de prière.”

JÉSUS, NOTRE SÉCURITÉ

David Wilkerson

Quelques mois après le 11 septembre, un journal de New York affichait en gros titre : “LA CITE DE LA PEUR.” Le ministère de la Sécurité Intérieure avait été prévenue qu’une attaque terroriste avait été démantelée et que l’alerte était passée au code orange.

LES PEURS CACHÉES

Ce même jour, un officier de la police de New York m’a parlé de l’incertitude et de l’alerte maintenue au sein de la police et des pompiers. Leur apparence dure dissimulait des craintes parce que la plupart d’entre eux avait perdu des amis durant les attaques du 11 septembre.

DANS LES DERNIERS JOURS

David Wilkerson

Je sais que la Bible dit que Satan est venu dans ces derniers jours avec un grand courroux (voir Apocalypse 12:12). Mais je ne peux pas concevoir que Dieu puisse permettre à Satan et à ses forces d’assaillir librement l’Église, sans que le Saint-Esprit vienne dans une manifestation de puissance encore plus grande.

La Bible dit que :

CE MONDE N’EST PAS NOTRE FOYER

David Wilkerson

Quand le Saint-Esprit viendra tel un torrent de pluie, Il réveillera la Fiancée de Christ avec un cri. Que va donc être le cri de l’Esprit ? “Voici l’époux, allez à sa rencontre !” (Matthieu 25:6).

De façon tragique, le message de la seconde venue de Christ a presque disparu des estrades aujourd’hui. Même sur internet, où l’on trouve des messages sans nombre remplis de discussions au sujet de l’Eglise, on ne trouve rien au sujet du retour de Christ. Mais Jean dit que le cri de l’Eglise dans les derniers jours sera :

LE DÉVERSEMENT PROMIS

David Wilkerson

Je suis convaincu que le Seigneur essaye d’atteindre Son peuple comme jamais auparavant.

“Jamais on n’a appris ni entendu dire, et jamais l’œil n’a vu qu’un autre Dieu que toi fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui” (Esaïe 64:4).

APRÈS QUOI TON CŒUR SOUPIRE-T-IL?

Gary Wilkerson

La gloire de Dieu a été pleinement révélée en Jésus ; nous n’avons pas à nous cacher dans le creux du rocher comme l’a fait Moïse. Nous n’avons pas à attendre que l’eau sorte du rocher ; des rivières d’eau vive coulent continuellement de Son Esprit qui réside en nous. La faveur ultime de Dieu ne se trouve pas dans les choses mais dans Sa présence et Il ne nous la refuse pas.

LE CRI QUI ENFLE

David Wilkerson

Notre Seigneur a un saint reste dans chaque nation. Et en moment même, Il prépare un peuple qui se secoue pour s’emparer de Lui. Dans de petites églises et dans des rassemblements tout autour du globe – en Chine, en Inde, en Europe, en Afrique, en Amérique du Nord et du Sud – un cri enfle et devient de plus en plus intense.

“Ô Dieu, descends ! Envoie le feu de Ton Esprit Saint ! Fais disparaître la chair et manifeste Ta présence.”

QUAND DIEU FROTTE UNE ALLUMETTE

David Wilkerson

Quand les 120 se rassemblaient fidèlement dans la Chambre Haute, ils n’attendaient pas simplement une date sur un calendrier. La Bible dit : “ils étaient tous ensemble dans le même lieu” (Actes 2:1). Ce signifie qu’ils étaient venus ensemble, comme un seul corps pour un seul but : l’espoir de voir s’accomplir la promesse de Jésus. Leur cri était le même qu’à l’époque d’Esaïe : “Seigneur, déchire les cieux et descends. Que toutes les montagnes d’oppositions humaines et démoniaques puissent fondre devant Ta présence, pour que les perdus puissent être sauvés.” (voir Esaïe 64:1).

TOUCHE TON PEUPLE UNE FOIS ENCORE

David Wilkerson

Les messages prophétiques d’Esaïe ont été entendus dans toute la nation. A cette époque, il y avait de grands rassemblements religieux, avec des chœurs et des orchestres et de grandes foules qui remplissaient les synagogues. Le peuple était versé dans les Écritures et respectaient toutes les ordonnances. Mais, malgré toute cette activité – tout l’enseignement, tout l’apparat et les bonnes œuvres – l’atmosphère dans les synagogues était morte. Accomplir l’œuvre de Dieu était devenu une corvée, pour une seule raison : Sa présence n’était pas dans leurs rituels.