French Devotions

Amy et moi sommes rentrés récemment à la maison après une semaine passée à Manhattan. New York est une grande cité dans bien des domaines, mais dans d’autres, elle me rappelle l’ancienne Ninive. Elle est à la fois un centre pour les États-Unis et pour la culture globale. Quoi que tu cherches, tu peux certainement le trouver dans cette cité. Il y a beaucoup d’expressions de religion, mais peu de lumière. Beaucoup de représentations historiques de la foi chrétienne ont sacrifié la vérité sur l’autel des accommodations culturelles.

Je suis envahi par la peur et je tremble ;

Je suis envahi par les terreurs de la mort.

J’ai peur parce qu’il y a plus de mal que de bien en moi,

Plus de mensonge que de justice,

Plus de faiblesse que de force.

Je suis comme un olivier

Qui ne porte pas de fruit.

Oh, si je pouvais avoir des ailes comme la colombe,

Je pourrais m’envoler

Et trouver le repos.

Je hâterais mon échappée

De cette terrible tempête.

J’ai peur que Dieu ne me rejette

Qu’Il ne maudisse cet arbre vert

David nous dit clairement pourquoi Dieu a répondu à ses prières : “Il m’a mis au large, Il m’a sauvé, parce qu’il m’aime” (Psaumes 18:19). L’expression “il m’aime” signifie ici : “prendre plaisir, trouver de la joie.” David disait : “J’apporte du plaisir à Dieu. Il me délivre simplement parce qu’Il prend plaisir en moi.”

Crois-tu que Dieu veut agir rapidement pour résoudre tes problèmes ?

C’est là que beaucoup de chrétiens échouent. Ils savent que Dieu a tout ce dont ils ont besoin. Ils admettent qu’Il se soucie d’eux mais ne sont pas convaincus qu’Il veut les aider rapidement. Quand Il ne répond pas tout de suite, ils imaginent que quelque chose en eux gêne ou bloque Son action. Ils imaginent toutes sortes de raisons pour lesquelles le Seigneur ne voudrait pas venir à leur aide.

Dieu demande : “Crois-tu réellement que Je vois exactement ce que tu endures en ce moment ?” Peut-être que, alors que tu lis ces lignes, tu traverses quelque chose qui nécessite une action de Sa part en ta faveur. La nature même de ton problème demande une réponse.

Elle est entrée avec des brûlures d’acide sur le visage, une main coupée, l’autre main tenant son moignon. Le docteur du village l’a regardée et a dit : “On ne peut pas t’aider : tu vas mourir. C’est un mauvais karma si tu meurs dans le village, parce que ton fantôme va revenir hanter l’hôpital.”

Ces mots ne sortent pas d’un roman. Ils ont été prononcés par une belle jeune femme qui était assise en face de moi et qui me racontait l’histoire de sa vie. Elle s’appelle Nora.

Je me souviens avoir déneigé le terrain de basket les dimanches matins quand j’étais jeune. Je venais d’apprendre quelques nouveaux mouvements et je m’en sortais bien, mais j’avais besoin de faire un peu mieux pour certains. Je pouvais marquer 50 ou 75 fois d’affiler. Il faut toujours chercher à s’améliorer, ne jamais s’arrêter.

Tout croyant qui désire plaire à Dieu dans sa vie de prière doit régler cette question : “Dieu a-t-Il tout ce dont j’ai besoin ? Ou dois-je me tourner ailleurs pour avoir mes réponses ?”

C’est l’un de mes passages préférés dans l’Écriture : “Cieux, réjouissez-vous ! Terre, sois dans l’allégresse ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car l’Éternel console son peuple, Il a pitié de ses malheureux. Sion disait : L’Éternel m’abandonne, Le Seigneur m’oublie ! —  Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles ? Quand elle l’oublierait, Moi je ne t’oublierai point. Voici, je t’ai gravée sur mes mains ; Tes murs sont toujours devant mes yeux” (Esaïe 49:13-16).

Tous les quatre ans, en janvier, l’Amérique donne à un nouveau président ce qui est appelé “le poste le plus puissant de la Terre.” Sa signature fait loi. Il commande l’armée la plus puissante du monde. Il peut appuyer simplement sur un bouton et apporter la destruction aux nations. Pourtant, la puissance qui est à sa disposition n’est rien comparée à la puissance que Jésus nous a donnée à toi et moi !