La communion avec Dieu consiste en deux choses : recevoir l’amour du Père et l’aimer en retour. Tu peux passer des heures dans la prière chaque jour, à dire combien tu aimes le Seigneur, mais ce n’est pas de la communion tant que tu ne Le laisses pas t’aimer en retour.
Comprendre la gloire de Dieu a une grande valeur pratique pour chaque croyant. La saisir peut nous ouvrir la porte d’une vie de victoire !
Pour la première fois de l’Histoire, moins de 50% des américains se définissent comme croyants, quelle que soit la dénomination. Ce chiffre est encore plus faible – 30% - pour les moins de trente ans. Lorsqu’on leur demande leur affiliation religieuse, nombre d’entre eux répondent “aucune”. Il est estimé que, d’ici une dizaine d’année, toute cette génération sera entièrement perdue dans la mondanité et le rejet de Dieu. Et la tolérance vis à vis des chrétiens ne fera que diminuer.
“Combattez pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes… qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient notre seul maître et Seigneur Jésus-Christ” (Jude 3-4). Nous devons discerner, identifier, confronter, apprendre à vaincre et à nous protéger contre les ennemis de notre foi.
Quand le roi David a traversé un temps de découragement et d’épreuve, il a crié : “Je suis courbé, abattu au dernier point ; Tout le jour je marche dans la tristesse… Je suis sans force, entièrement brisé ; Le trouble de mon cœur m’arrache des gémissements… Mon cœur est agité, ma force m’abandonne, et la lumière de mes yeux n’est plus même avec moi” (Psaumes 38:6, 8, 10).
Tous ceux qui recherchent sincèrement la présence du Seigneur l’auront très certainement en eux. “Si vous le cherchez, vous le trouverez” (2 Chroniques 15:2). Le terme hébreux pour “trouver” ici est “matsa”, qui signifie “Sa présence qui vient pour rendre capable, pour bénir.” Pour résumer, ce verset nous dit : “Cherchez le Seigneur de tout votre cœur et Il viendra en vous. Sa présence sera alors une grande puissance qui émanera de votre vie.”
S’abandonner soi-même entre les mains de Dieu est un acte de foi. Il est facile pour les chrétiens de dire “Que la volonté de Dieu soit faite” de façon générale, mais c’est tout à fait autre chose lorsqu’il s’agit pour nous de nous abandonner entre les mains de Dieu à propos d’une circonstance bien spécifique. Dans la Bible, quand quelqu’un s’approchait de cet abandon, c’était fait avec un grand sérieux et une mure réflexion.
Moïse était convaincu que, sans la présence de Dieu dans sa vie, il était inutile pour lui de tenter quoi que ce soit. Quand il a parlé face à face avec le Seigneur, il a dit : “Si tu ne marches pas toi-même avec nous, ne nous fais point partir d’ici” (Exode 33:15). Il disait : “Seigneur, si Tu n’es pas à mes côtés, alors je ne vais nulle part. Je ne ferai pas un seul pas à moins d’être assuré que Tu es avec moi !”
Considérons à quoi ressemble le christianisme “normal” aujourd’hui à travers la vie d’un croyant typique. Cette personne est un peu égocentrique, un peu matérialiste, fait un peu partie de la société de consommation. La plupart de ses choix quotidiens concernent l’amélioration de sa vie. Cela inclue ses attentes spirituelles, depuis les réunions de son église auxquelles il participe jusqu’aux séminaires auxquels il assiste, en passant par les podcasts qu’il télécharge.
Quand nous marchons dans l’Esprit, quand le Saint-Esprit nous contrôle, Il produit de la joie dans notre vie, tout comme Il produit de l’amour. Luc parle de Jésus en disant “Jésus tressaillit de joie par le Saint-Esprit” (Luc 10:21). Toute joie vient du Saint-Esprit. Nous ne pouvons pas la fabriquer, l’appeler ou la produire par nous-mêmes.