Quand Jésus est apparu à Marie Madeleine dans le jardin près du tombeau, elle a pensé qu’il était le jardinier. Son cœur était lourd et elle pleurait : “ Seigneur, si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as mis, et je le prendrai” (Jean 20:15).
“Jésus lui dit : Marie ! Elle se retourna, et lui dit en hébreu : Rabbouni ! c’est-à-dire, Maître !” (Jean 20:16). Jésus connaît le nom de tous ceux qui L’aiment et Il a appelé Marie par son nom.
Je crois que, quand Jésus a lavé les pieds de Ses disciples, Il leur enseignait une leçon importante sur la façon d’atteindre l’unité dans le corps de Christ.
Quand Jésus a approché Pierre pour lui laver les pieds, le disciple s’est reculé et a demandé, étonné : “Seigneur, Tu ne vas pas me laver les pieds, n’est-ce pas ? Jamais !” (voir Jean 13:6). Jésus a répondu : “Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi” (Jean 13:8). Jésus disait, en substance : “Pierre, si Je te lave les pieds, tu auras la base pour une communion précieuse, pour une véritable unité.”
“Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ” (Éphésiens 4:32).
Si tu veux être compatissant et prendre la serviette pour restaurer un frère ou une sœur, tu n’as pas besoin de connaître les détails de la façon dont cette personne s’est salie. Jésus n’a pas demandé à Ses disciples : “Comment avez-vous fait pour avoir les pieds aussi sales ?” Il a seulement voulu retirer la poussière. Son amour pour eux était inconditionnel.
Laisse-moi te donner ce que j’appelle : “la vie de dévotion pour les banlieusards et ceux qui prennent le métro debout.” C’est un moyen simple pour les chrétiens très occupés de mener une vie de dévotion pratique et profonde, sans rien de mystique.
Il n’y a pas si longtemps, j’étais assis devant ma maison, en train de lire ma Bible, et j’ai soudain ressenti ce désir intense. Je me suis retrouvé à dire : “Jésus, j’aimerais que Tu sois là, physiquement. J’aimerais que Tu puisses t’asseoir près de moi, sous ce porche, que Tu ouvres ma Bible et que Tu m’en parles. J’aimerais pouvoir voir Tes yeux et entendre Ta voix.”
Le Nouveau Testament nous parle entre autres de deux groupes de personnes : les collecteurs d’impôts et les zélotes. Le premier groupe était constitué de juifs qui collectaient des taxes auprès de leurs compatriotes au profit de l’Empire Romain. Ils gagnaient leur vie en faisant payer une somme supplémentaire à ce que les gens devaient. Certains collectaient tout ce qu’ils pouvaient et devenaient très aisés. Beaucoup de juifs voyaient les collecteurs d’impôts comme des traîtres parce qu’ils devenaient riches en collaborant avec les autorités romaines au dépend de leur propre peuple.
Le Psaume 107 a été appelé “le festin d’amour de l’Ancien Testament.” Pour ceux qui ont besoin de pardon, de délivrance ou de restauration, c’est l’un des passages les plus encourageants de la Parole de Dieu. Le verset final promet au lecteur une compréhension de qui est réellement Dieu. “Que celui qui est sage prenne garde à ces choses, et qu’il soit attentif aux bontés de l’Éternel” (Psaumes 107:43).
Marie-Madeleine représente un type de croyant dont le cœur est tout entier à Christ. La vie de cette femme a été marquée par son amour et son affection pour Jésus.
Aux yeux du monde, Marie-Madeleine n’était pas une grande théologienne. Quand les disciples se rassemblaient pour discuter des choses profondes concernant la croix, elle était certainement silencieuse, puisque les femmes de cette époque parlaient rarement ouvertement des choses spirituelles en présence des hommes. Pourtant, elle avait quelque chose qu’ils n’avaient pas : elle avait reçu une révélation !
Jésus a mis en garde Ses disciples : “C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas” (Matthieu 24:44).
Une des caractéristiques de la fiancée de Christ, c’est qu’elle attend Son retour prochain. La fiancée de Jésus doit vivre dans une attente constante et joyeuse de Son retour imminent, parce qu’Il peut revenir à n’importe quel moment.
“Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres” (Jean 13:14).