Dieu a regardé notre monde malade à cause du péché, rempli de gens enfermés dans des prisons de peur et de désespoir, et Il a envoyé Son propre Fils. Jésus est venu sur Terre, endossant la fragilité d’un corps humain et a dit à tous ceux qui voulaient écouter : “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos” (Matthieu 11:28).

Dans l’évangile de Luc, Jean Baptiste décrit ce qui se produit quand l’évangile arrive. “Comme le peuple était dans l'attente, et que tous se demandaient en eux-même si Jean n'était pas le Christ, il leur dit à tous : Moi, je vous baptise d'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.” (Luc 3:15-16).

Qu’est-ce qu’une conversation entre deux anciens amants peut bien avoir à faire avec ma vie quotidienne ? Beaucoup, je crois.

“ C'est en l'Eternel que je cherche un refuge.  Comment pouvez-vous me dire : fuis dans vos montagnes, comme un oiseau ? Car voici, les méchants bandent l'arc, ils ajustent leur flèche sur la corde, pour tirer dans l'ombre sur ceux dont le cœur est droit.” (Psaumes 11:1-2).

Le Psaume 11 commence par un problème et se termine par une promesse. Entre les deux, il pose trois questions que nous nous posons souvent à propos des ténèbres qui nous troublent et des attaques qui sont menées contre nous.

Le péché d’idolâtrie a attiré la terrible colère de Dieu contre Son propre peuple. Cela l’a mis davantage en colère que n’importe quel autre péché dans l’Ancien Testament, à tel point qu’Il a déclaré : “ Les enfants ramassent du bois,

Les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d'autres dieux, afin de m'irriter” (Jérémie 7:18).

Se repentir, c’est plus que dire : “Seigneur, j’ai eu tort.” C’est aussi dire : “Seigneur, Tu as raison !”

Bien aimé, ce message n’a pas pour but de se moquer de toi ou de te faire la morale. Je crois que j’ai au contraire une parole d’espérance pour toi. Laisse-moi t’expliquer pourquoi tu trouves peut-être si difficile d’être le chrétien bon, plein de grâce et de miséricorde que tu voudrais être.

En tant qu’enfants de Dieu, nous devons nous occuper des affaires de notre Père, de la mission de Dieu. Parfois, certaines personnes comprennent mal ce que nous faisons. Même des personnes faisant partie de notre église ou de notre communauté peuvent mal nous comprendre et dire : “Tu es bien trop tourné vers l’extérieur et tu ne réponds pas à mes besoins.”

Beaucoup d’entre vous regardent à leur vie et décident qu’ils ne sont pas dignes de miséricorde. C’est un problème fréquent. Le danger, c’est qu’on se met alors à la place de Dieu et que l’on décide : “Si j’étais Dieu, je ne me ferai pas miséricorde.”

Regarde Ezéchiel 22, la nation d’Israël était dans une terrible condition. La liste de ses crimes, écrite par le prophète, te donne envie de te couvrir le visage et de pleurer. Nous regardons cette situation et nous nous disons : “Seigneur, certainement, cette nation mérite d’être jugée.”

“Pourquoi, ô Éternel ! te tiens-tu loin, te caches-tu aux temps de la détresse ?” (Psaumes 10:1).

Le cri de David ressemblait à celui de tant de chrétiens que j’ai connu au fil des années. “Pourquoi es-Tu si loin de moi alors que je traverse ces terribles épreuves ? Pourquoi te tiens-Tu si loin de moi alors que je souffre ?”