“Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction ! Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ” (2 Corinthiens 1:3-5).
Dieu ne veut pas ta maison, ta voiture, tes meubles, tes économies ni aucune de tes possessions. Tout ce qu’Il veut, c’est que tu aies une grande confiance en Sa Parole, et ce peut être la chose dont d’autres, ayant l’air plus spirituel, manquent. Tu peux avoir l’impression qu’une autre personne est plus spirituelle que toi, mais cette personne est peut-être en réalité en train de lutter de toutes ses forces pour avoir l’apparence de la justice. Quand Dieu te regarde, Il déclare : “Voilà un homme ou une femme juste.” Pourquoi ?
Dieu a donné à Jérémie une révélation de Son nom Jehovah Tsidkenu (prononcé Je-HO-va Sid-KAY-nou) dans un temps de crise similaire à ce que nous affrontons aujourd’hui. “Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où je susciterai à David un germe juste ; Il régnera en roi et prospérera, Il pratiquera la justice et l’équité dans le pays. En son temps, Juda sera sauvé, Israël aura la sécurité dans sa demeure ; Et voici le nom dont on l’appellera : L’ÉTERNEL NOTRE JUSTICE” (Jérémie 23:5-6)
Quand Jésus s’est tenu au sommet du temple, Satan Lui a murmuré : “Vas-y. Saute ! Si tu es réellement le Fils de Dieu, Il te sauvera.”
“Le diable le transporta dans la ville sainte, le plaça sur le haut du temple, et lui dit : Si tu es Fils de Dieu, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera des ordres à ses anges à ton sujet ; Et ils te porteront sur les mains, de peur que ton pied ne heurte contre une pierre” (Matthieu 4:5-6).
Dieu nous a donné une promesse en acier pour notre vie sur cette Terre. Il dit que, quand notre ennemi tente de nous écraser : “C’est pourquoi mon peuple connaîtra mon nom ; C’est pourquoi il saura, en ce jour, que c’est moi qui parle : me voici !” (Ésaïe 52:6). En d’autres termes, Dieu dit : “Quand vous serez au milieu des pires difficultés, Je viendrai et Je vous donnerai une Parole. Vous m’entendrez dire : “C’est Moi, Jésus, votre Sauveur. N’ayez pas peur.”
Quand Dieu nous appelle à avancer vers un rêve ou une situation difficile, notre sceptique intérieur est tenté de dire : “Il est impossible pour toi de traverser cette rivière. Ce n’est tout simplement pas possible. Nous n’avons pas les ressources. Attendons le bon moment. Faisons-le, mais pas maintenant.”
Quand certains artistes télévangélistes dépouillaient les gens de leur argent, n’importe quel drogué en voyant ça pouvait dire : “Vous vous fichez de moi ? C’est une arnaque.” Pourtant, dans le même temps, des chrétiens faisaient des chèques en disant : “A qui est-ce que je l’adresse ?” Cela n’aurait pas dû être le cas, pourtant, c’est souvent ce qui se produit.
Dieu a pris la petite nation d’Israël et l’a isolée dans un désert. Il les plaçait là à l’école de l’épreuve pour produire un peuple qui Lui ferait confiance, peu importe les circonstances. Il voulait qu’Israël puisse témoigner : “Je peux traverser n’importe quelle épreuve, n’importe quelle difficulté, même celles qui dépassent mes capacités. Comment ? Parce que je sais que mon Dieu est avec moi dans chaque épreuve. Il me permettra toujours de les traverser.”
Personne sur Terre ne peut te placer dans le ministère. Tu peux recevoir un diplôme de la part d’une école, être institué par un ancien ou commissionné par une dénomination, mais l’apôtre Paul révèle que la seule source du véritable appel au ministère : “Je rends grâces à celui qui m’a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu’il m’a jugé fidèle, en m’établissant dans le ministère” (1 Timothée 1:12).
Le contentement était un grand test dans la vie de Paul. Après tout, Dieu avait dit qu’Il allait puissamment l’utiliser : “Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël” (Actes 9:15). Quand Paul a reçu pour la première fois cette mission : “Et aussitôt il prêcha dans les synagogues que Jésus est le Fils de Dieu” (Actes 9:20).