“Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable… prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin” (Éphésiens 6:11, 16).
Je vous écris aujourd’hui pour vous dire que Dieu peut ouvrir les portes fermées. Certains d’entre vous qui lisez ce message se sentiront immédiatement concernés, parce qu’ils affrontent une ou plusieurs portes fermées. Elle est là, juste devant toi, cette porte qui semble continuellement verrouillée. Cela peut-être des problèmes financiers sérieux et tu as prié pour qu’une opportunité s’ouvre. Mais tout ce que tu as essayé semble échouer. Les portes ne s’ouvrent tout simplement pas.
Tu es profondément béni si tu as un frère ou une sœur dévoué avec qui prier. En effet, les intercesseurs les plus puissants que j’ai connus priaient à deux ou trois. “Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux” (Matthieu 18:19).
Certains chrétiens ne veulent pas être connectés à d’autres membres du corps de Christ. Ils communient avec Jésus, mais ils s’isolent volontairement des autres croyants. Ils ne veulent pas avoir à faire avec le corps, mais uniquement avec la tête.
Dans les évangiles, Jésus a dit à Ses disciples : “… Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire… les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre ; car les puissances des cieux seront ébranlées” (Luc 21:25-26). L’avertissement de Christ pour eux et pour nous est le suivant : “S’ils ne placent pas leur espérance en moi, une multitude de gens vont littéralement mourir de peur !”
Une des promesses les plus puissantes et aussi les moins bien utilisées de la Bible est la suivante : “Je puis tout par celui qui me fortifie” (Philippiens 4:13).
Cette promesse ne concerne pas le joueur de foot qui dirait : “Je peux écrabouiller l’autre équipe.” Ni le catcheur qui dirait en revêtant la robe qu’il porte dans la cage : “Je peux tout avec Christ. Je peux vaincre l’autre type.”
Pleurer ne te donne pas accès au Lieu Céleste. Tu ne peux y arriver non plus par l’étude, le travail ou la volonté. Non, le seul chemin vers la vie au pied du trône, c’est un sacrifice vivant : “à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable” (Romains 12:1).
Notre paix et notre contentement dépendent toujours de notre abandon entre les mains de Dieu, peu importe nos circonstances. Le psalmiste a écrit : “Fais de l’Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire” (Psaumes 37:4).
Dans des temps troublés comme ceux que nous vivons, l’Eglise est-elle impuissante ? Devons-nous nous asseoir et attendre le retour de Christ ? Ou sommes-nous appelés à des actions drastiques d’un autre genre ? Quand tous ceux qui nous entourent dans le monde tremblent, quand les cœurs des hommes chancellent de peur, sommes-nous appelés à prendre les armes spirituelles et à combattre l’Ennemi ?
Le prophète nous prévient que, lorsque nous verrons Dieu ébranler les nations et que des temps périlleux nous frapperont, notre nature humaine aura peur. Ézéchiel demandait : “Ton cœur sera-t-il ferme, tes mains auront-elles de la force dans les jours où j’agirai contre toi ?” (Ézéchiel 22:14)