“Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde” (1 Pierre 5:7-9).
L’apôtre Paul a déclaré : “Que dit-elle [l’Ecriture] donc ? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Or, c’est la parole de la foi, que nous prêchons. Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture: Quiconque croit en lui ne sera point confus” (Romains 10:8-11).
Une femme nommée Céleste Horvath jouissait à une époque d’une certaine notoriété à New York. Elle dirigeait un réseau de prostitution qui impliquait certains des hommes les plus connus de la nation. Céleste avait grandi dans un foyer pentecôtiste et sa grand-mère avait prophétisé à son sujet : “Tu seras une évangéliste.”
La Bible dit clairement que chaque croyant doit avoir une certaine crainte du Seigneur. La véritable crainte de Dieu implique admiration et respect, mais cela va bien plus loin encore.
Jésus nous dit : “Vous êtes la lumière du monde” (Matthieu 5:14). Cette déclaration va bien plus loin que le simple service. Elle va au-delà de l’enseignement, de la prédication ou de la distribution de tracts. Christ nous dit très clairement : “Vous êtes la lumière.” Il dit en fait : “Vous n’êtes pas seulement un reflet. Vous n’êtes pas seulement un canal. Vous êtes une lumière et l’intensité de votre lumière dépend de l’intensité de votre marche avec moi.”
Tu ne seras jamais satisfait ou passionné pour Jésus si tu vis avec ce type de mélange : “Je veux entendre d’autres voix me parler. La voix du monde, la voix de la chair, de moi-même et puis, un peu de la voix de Dieu aussi.”
Dans le livre de 1 Samuel, nous voyons qu’Eli, le sacrificateur souhaitait un peu de ce type de mélange dans sa vie, à tel point que ses yeux avaient commencé à s’obscurcir (voir 1 Samuel 2:22-36). Il ne pouvait plus voir ce que Dieu faisait.
“Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux: un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ; un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir ; un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser ; un temps pour lancer des pierres, et un temps pour ramasser des pierres ; un temps pour embrasser, et un temps pour s’éloigner des embrassements ; un temps pour chercher, et
“Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie” (Jean 8:12).
“Car tu l’as prévenu par les bénédictions de ta grâce, tu as mis sur sa tête une couronne d’or pur” (Psaumes 21:3). Au premier regard, ce verset écrit par David est un peu surprenant. Le terme “prévenir” est étonnant dans ce contexte, mais une traduction plus moderne serait : “Tu es venu à lui chargé de tes bénédictions” (version Semeur).
Le terme utilisé ici pour “prévenir” signifie : “anticiper, précéder, prévoir et réaliser par avance, payer une dette avant qu’elle ne soit due.” De plus, dans presque tous les cas, il implique une notion de plaisir.
Alors que les chrétiens, à l’époque de Paul, sentaient que la destruction de Jérusalem était proche, ils voulaient en connaître davantage à propos des événements prophétiques. Ils étaient effrayés par les rumeurs d’armées d’invasion impitoyables qui réduisaient en esclavage des captifs innombrables. Cela donnait l’impression à ces croyants que des temps périlleux étaient proches. Ils ont demandé à Paul de leur en dire davantage sur ce qui devait venir et sur la façon d’interpréter les temps.