“C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ; mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux” (Matthieu 10:32-33).
John Piper a écrit à propos de ce qu’il considère comme la phrase la plus coupable, la plus perturbatrice et la plus capable de changer la culture de toute l’Histoire de la Cour Suprême. Cette petite phrase est attribuée à Anthony Kennedy de la Cour Suprême de Justice, en 1992, quand il a dit : “Au cœur de la liberté se trouve le droit de définir soi-même son propre concept de l’existence, de donner soi-même un sens à l’univers et au mystère de la vie.”
Si nous voulons nous saisir de cette idéologie, Dieu doit être exclu de l’équation.
Une histoire qui m’a toujours fait rire parle d’un homme qui a été sauvé après 20 ans passés sur une île déserte. Alors qu’il se tient sur le pont du bateau qui vient de le sauver, le capitaine lui dit : “Je pensais que vous aviez été seul ici pendant 20 ans.”
Il répond : “C’est le cas.”
Le capitaine demande alors : “Pourquoi y a-t-il trois huttes sur la plage ?”
“Eh bien, celle-ci, c’est là où je vis. Celle-ci, c’est là où je vais à l’église. La troisième, c’est là où j’allais à l’église avant.”
“Ne nous livrons point à l’impudicité, comme quelques-uns d’eux s’y livrèrent, de sorte qu’il en tomba vingt-trois mille en un seul jour. Ne tentons point le Seigneur, comme le tentèrent quelques-uns d’eux, qui périrent par les serpents” (1 Corinthiens 10:8-9).
La majorité des américains sait que la Cour Suprême des États-Unis a pris la décision que les Dix Commandements ne devaient plus être affichés dans aucun tribunal. Cette décision historique a largement été couverte par les médias, mais que signifie-t-elle réellement ?
Il n’y a pas de formule toute faite pour vivre en étant pleinement dépendant du Seigneur. Tout ce que je peux t’offrir, c’est ce que Dieu m’a enseigné dans ce domaine. Il m’a montré deux moyens de Lui donner entièrement le contrôle.
La Parole de Dieu nous dit en termes très clairs : “Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur” (Hébreux 12:14).
J’ai un ami que je connais depuis 20 ans. Il avait un ministère incroyable. Son église grandissait rapidement. Il avait acheté un bâtiment. Des âmes venaient à Christ. Les portes lui étaient ouvertes pour prêcher partout dans le pays.
Contrairement à ce que dit une grande partie de la théologie moderne, Dieu ne nous a jamais promis une vie sans épreuve et sans souffrance, mais une vie au cours de laquelle nous serions raffinés et minutieusement modelés en Son image. Il n’a jamais voulu que nous menions une petite vie étroite centrée uniquement sur nous-mêmes, avec notre intérêt fixé sur les choses de ce monde, mais plutôt que nous vivions avec les mains tendues et le cœur touché par les infirmités des autres.
Avant la fin du livre de la Genèse, Dieu avait choisi un petit peuple insignifiant qu’Il devait diriger. Il voulait lever un peuple qui serait un exemple vivant de Sa bonté pour le monde païen. Pour apporter un tel témoignage, Dieu a emmené Son peuple dans des situations qui étaient au-delà de leur contrôle. Il a isolé Israël dans un désert où Lui-seul pouvait être la source de leur vie, pourvoyant à chacun de leurs besoins.