La puissance douloureuse du pardon
George Müller a dit un jour : “Le foi n’opère pas dans le domaine du possible. Il n’y a pas de gloire pour Dieu dans ce qui est humainement possible. La foi commence là où la capacité de l’homme s’arrête.
George Müller a dit un jour : “Le foi n’opère pas dans le domaine du possible. Il n’y a pas de gloire pour Dieu dans ce qui est humainement possible. La foi commence là où la capacité de l’homme s’arrête.
“Jésus, ayant assemblé les douze, leur donna force et pouvoir” (Luc 9:1). Jésus a donné la puissance à Ses disciples, pas parce qu’ils étaient ambitieux mais parce qu’ils Lui appartenaient. Appartenir à Christ est indissociable de recevoir Sa puissance. La puissance naît de ce qu’on Lui appartient. Lui appartenir apporte une réelle puissance.
Tu ne devrais jamais aller à l’église sans avoir prié : “Seigneur, donne-moi des oreilles pour entendre. Aide-moi à entendre, comprendre et mettre Ta Parole en pratique dans ma vie.” Tout comme le Saint-Esprit oint la langue des pasteurs pour qu’ils apportent la Parole, Il oint aussi tes oreilles pour qu’elles entendent. Dans une Église du Saint-Esprit, tu entendras toujours un cri de repentance déchirant. En fait, tu ne peux pas être une personne du Saint-Esprit sans crier du plus profond de toi-même.
La force qui conduisait l’Église de David était une dépendance totale envers le Saint-Esprit. “Samuel prit la corne d’huile, et l’oignit au milieu de ses frères. L’esprit de l’Éternel saisit David, à partir de ce jour et dans la suite” (1 Samuel 16:13).
“Salomon, fils de David, s’affermit dans son règne ; l’Éternel, son Dieu, fut avec lui, et l’éleva à un haut degré” (2 Chroniques 1:1).
Il y a une phrase que nous autres, chrétiens, utilisons souvent pour nous réconforter les uns les autres. Nous disons : “Dieu est souverain.” C’est effectivement réconfortant, mais qu’est-ce que cela signifie exactement ?
Mère Thérésa a dit un jour : “Reste là où tu es. Trouve ton propre Calcutta. Trouve ceux qui sont malades, ceux qui souffrent et ceux qui sont seuls, là où tu te trouves, dans ton propre foyer, ta propre famille, ton lieu de travail ou ton école. Tu peux trouver des Calcutta partout dans le monde, si tu as des yeux pour voir. Partout, partout où tu vas, tu peux trouver des gens qui ne sont pas désirés, qui sont mal-aimés, dont personne ne prend soin, rejetés par la société, complètement oubliés ou laissés seuls.
“Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui” (Zacharie 12:10).
Nous entendons souvent des missionnaires parler de grands réveils partout dans le monde. Dans tous les cas, “l’esprit de prière” est lié à la moisson. Au Vietnam, en Chine, en Sibérie, en Amazonie, en Afrique et dans de nombreux endroits, le peuple de Dieu prie avec feu et ferveur, pleurant et criant à Dieu, cherchant Sa face, renonçant au péché et se tournant vers la justice.
Le terme “supplication” (voir Zacharie 12:10) n’est utilisé dans la Bible que pour désigner un cri ou une prière qui est vocalisée. En d’autres termes, il ne s’agit pas d’une prière privée ou d’une méditation, la supplication est faite à voix haute.