Jésus s’est levé dans le Temple et a crié : “Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu !” (Matthieu 23:37). Quand je lis ceci, je me pose une question : Dans le Nouveau Testament, Dieu rejetterait-il une personne qui a repoussé Son offre de grâce, de miséricorde et de réveil ?
Nous vivons dans un temps qui voit la plus grande révélation de l’Évangile de toute l’Histoire. Il y a davantage de prédicateurs, de livres, et de médias évangélique que jamais. Pourtant, il y a aussi davantage de détresse, d’affliction et d’esprits troublés que jamais parmi le peuple de Dieu. Les pasteurs d’aujourd’hui destinent leur messages à simplement relever les gens et à les aider à affronter leur désespoir.
Encore et encore, le psalmiste demande : “Pourquoi mon âme est-elle abattue ? Je me sens inutile et rejeté. Il y a une telle agitation en moi. Pourquoi, Seigneur ? Pourquoi est-ce que je me sens tellement impuissant dans mon affliction ?” (Voir Psaumes 42:11 et Psaumes 43:5). Ces questions, une multitude de gens qui ont aimé et servi Dieu se les sont posées.
Il y a plus de 2000 ans, Jésus a accompli la promesse faite dans Genèse. Il est venu pour écraser la tête de l’accusateur.
Plusieurs d’entre vous sont accusés en ce moment. T’es-tu déjà réveillé à 3h00 du matin en sentant le poids de l’accusation ? C’est une chose des plus étranges. Je me réveille presque toutes les nuits, mais souvent, quand je me réveille au milieu de la nuit, mes pensées sont inondées par une anxiété qui flotte librement, une impression : “Oh, je crois que j’ai fait quelque chose de mal.”
Actuellement, nous voyons tellement de gens, surtout parmi les jeunes, qui ont perdu courage et espérance. Ils ne voient plus aucune raison de vivre ; ils ne voient plus aucun but pour leur avenir et c’est réellement une grande tragédie de notre époque.
Parfois, les moments de notre vie qui devraient être les meilleurs nous apportent les plus grandes tribulations et épreuves. La foi, surtout dans ces temps, est très exigeante. Elle nous ordonne de répondre à la Parole de Dieu, une fois que nous l’avons reçue. Peu importe à quel point les obstacles peuvent paraître grands, à quel point nos circonstances peuvent nous paraître impossibles. Nous devons croire la Parole de Dieu et agir en fonction. Le Seigneur dit : “Ma promesse est tout ce dont tu as besoin.”
Quand Dieu dit à l’Humanité : “Crois”, Il demande quelque chose qui est au-delà de la raison. La foi est totalement illogique. Sa définition même implique quelque chose d’opposé à la raison. L’Écriture nous dit : “Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas” (Hébreux 11:1). Il nous est dit, pour résumer : “Il n’y a aucune substance tangible, aucune preuve visible.” Malgré tout, il nous est demandé de croire.
Dans les derniers temps, l’Eglise de Jésus Christ va être plus glorieuse et victorieuse que dans toute son Histoire. Le véritable corps du Seigneur ne va pas s’affaiblir et s’éteindre. Non, Son Eglise va partir dans une explosion de puissance et de gloire et elle va bénéficier de la révélation de Jésus la plus complète qu’on ait jamais connue.
Je ne pense pas que nous puissions comprendre le grand conflit qui fait rage en ce moment dans le royaume spirituel. Ni que nous puissions réaliser à quel point Satan est déterminé à détruire tous les croyants qui ont décidé de fixer fermement leurs cœurs affamés sur Christ.
Restaurer la véritable signification de Noël va bien au-delà d’avoir des chants de Noël ou des crèches dans les lieux publics. Combien d’entre vous savent que nous pouvons avoir des crèches dans les tribunaux ou des cantiques de Noël dans des grandes surfaces, et pour autant vivre dans une nation païenne ? Quelque chose d’autre doit changer dans notre pays, pas seulement en surface, mais au coeur.